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ohlala les découvertes!

Vendredi 6 avril 2012 à 9:13

Un champ magnétique auto-thermorégulateur pour  combattre le réchauffement de la planète. Cela vous paraît fou ? C’est pourtant ce que des chercheurs américains en thermodynamologie ont mis au point durant ces huit dernières années en commançant à petite échelle dans un laboratoire du Nebraska. Après avoir observé sur les ancolies des collines un accroissement de la pilosité de la tige et du grossissement  anormal des étamines, les chercheurs se sont aperçus qu’elles poussaient au dessus de la source d’une onde thermomagnétique forte de plus de 4 degrés produite par un sol très riche en fer. Interpellé par les effets indéniables de cette onde, ils analysèrent toute le flore de la région des collines des sables. Ainsi Mickael Nowak et Charlie Effret ont pu établir, après maints tests minutieux un rapport direct entre le champ magnétique émis par le sol et la température à la périphérie de toutes les espèces présentes sur le sol ferreux. Expert dans le réchauffement de la planète, les deux chercheurs ont alors commencé leur expérience en plaçant les plantes sous différentes concentrations de champs magnétiques en changeant les variantes climatiques à chaque nouveau test. Au bout de 8 ans d’expériences acharnées en milieu protégé comme par un all in one firewall, ils ont pu créer un champ magnétique qui s’équilibre automatiquement et réduit les émissions de chaleur produites par la plante . Partant ce cette découverte ils ont recommencé l’expérience en l’élargissant, d’abord à l’échelle de la ville D’Ohama, Nebraska  en étudiant toute la flore de la région, puis lors des 5 dernières années à l’échelle de tout l’état du Nebraska.  Depuis 3 ans l’état du Nebraska enregistre une courbe de températures régulières  et normales qui prouve que  cet état ne semble plus être soumis au dérèglement climatique.

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l'ancolie, la fleur à l'origine de toutes ces recherches! 
(photo by monteregina-via flikr)

Jeudi 5 avril 2012 à 17:03

Vous pensiez avoir une araignée au plafond ? Il se pourrait bien que oui. Selon les recherches de biologistes australiens nous secrèterions les même sucs que les araignées lorsqu’elle tisse leurs toiles, mais nous le ferions…en chantant ! En effet selon les chercheurs du centre de neurologie de Kern, la vibration prononcée de nos cordes vocales exciteraient une petite glande, appelée la glande apotrophique sous clavière, située sous les cordes vocales, au creux de la gorge, à peu près au niveau où, messieurs, vous nouez votre cravate. Cette glande sécrèterait alors la même substance que celle que produisent les araignées tisseuses.  Cette découverte paraît anodine et relativement sans intérêt. Mais ces mêmes chercheurs affirment que cette substance riche en protéines et en acides aminés pourrais agir comme un corpo-médicament-auto-éffectif contre la migraine. Selon ces études qui sont toujours expérimentales, mais très prometteuses, il suffirait aux personnes souffrant de migraines chroniques de chanter 10 minutes par jour pour qu’ils voient disparaître définitivement leurs symptômes !!!

Ça a du bon de chanter sous la douche !

Mercredi 4 avril 2012 à 16:14

-Vous ici ? je vous croyais au zoo ?

-J’y  étais, il n’y a pas 2 seconde !

Ce dialogue ne nous paraîtra bientôt plus surréaliste du tout !

 

Selon les récentes études de l’ IAREMF, institut anglais de recherches éclectiques des molécules fondamentales, la téléportation ne serait plus qu’à une poignée de recherches de nous. Une poignée de recherche qui  représente tout de même une dizaine d’années. Mais qu’est ce qu’une dizaine d’années sur l’échelle du temps ?

La semaine dernière donc, les chercheurs de l’IAREMF auraient enfin pu isoler la molécule d’azote dégénérée ou encore 45t qui serait à l’origine de notre particularité à nous mouvoir si lentement. Ils ont en effet découvert que cette molécule empêchait  l’assimilation de l’enzyme 4 du composant de Wermer, enzyme qui bien assimilée pourrait nous permettre de multiplier par 100 nos capacités à nous mouvoir dans un espace temps régulier. Au vu des cette découverte les chercheurs affirment que, en fragmentant le nodule de l’élément dominant de l’enzyme 4 ils pourraient progressivement transférer l‘espace temps dans l’espace physique ce qui aurait pour conséquence une désintégration provisoire du système moléculaire. Après la désintégration, couplée à une bonne assimilation de l’enzyme 4 par redégénérescence de la molécule 45t , et à un procédé de mentalisation du lieu de téléportation souhaité, la recomposition moléculaire pourrait se faire dans un espace physique différent mais dans le même espace temps raccourcit. Il fallait y penser non ?? …Et oui ! Quand certains inventent la téléportation d’autres en sont toujours aux  téléphones fixes !!!

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